Connaissances, savoir-faire
De véritables connaissances sont acquises par curiosité, pratique, zèle et comparaison permanente. Le savoir-faire doit être prouvé en pratique; reconnaissance empirique du succès et de l’échec, décision, perfectionnement, poursuite. Seul le courage d’emprunter de nouvelles voies, d’appliquer des scénarios peu orthodoxes – avec une bonne évaluation des risques – permettent aux personnes possédant une bonne formation d’en apprendre encore plus et de créer des personnes encore plus compétentes, donc plus efficaces.
Communication
Par nature, les informaticiens ont une compréhension verticale de la communication. Toutefois, l’objectif de leur savoir-faire reste en surface, il est montré dans les besoins d’organisations et d’individus. Peut-être que le fondement de toutes actions de nos jours, que ce soit de l’homme ou de la machine, réside dans la communication. L’informaticien orienté client communique habilement au niveau horizontal, il explique à ses partenaires ce qui se déroule au niveau des profondeurs technique et convient avec eux des méthodes adaptées pour mettre en valeur les richesses existantes.
Méthodologies et idées
En tant qu’informaticien, la méthodologie m’est naturelle et évidente. La méthodologie est indispensable et elle nécessite une rigueur formelle dans l’analyse, la conception et la mise en oeuvre. Il convient toutefois de ne pas sous-estimer l’intuition éveillée, de l’idée décisive, de l’approche peu orthodoxe, lesquelles mènent souvent à une solution.
Courage à la vérité
Des projets informatiques échouent parfois tout simplement en raison de faiblesses humaines. Si le couple “vrai ou faux” est valable pour les machines, il l’est moins pour les êtres humains. Pour cette raison justement, les projets informatiques nécessitent une intégrité élevée de leurs responsables et décideurs. C’est d’autant plus necessaire que les projets informatiques sont souvent coûteux.